« Mais si vous abandonnez la grande route ensoleillée pour vous égarer dans les sentiers ombreux, si vous laissez votre machine sans surveillance, tandis que vous vous réfugiez sous quelque fraîche tonnelle, prenez garde que quelque amateur indélicat ne vous dérobe l’instrument, car alors vous iriez grossir le nombre des infortunés qui clament vers les nues : « Mon véloce ! mon cher véloce ! » »
Avant 1900
Articles
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Chronique du passé (1890)
22 avril 2021, par velovi -
Vers la Méditerranée (1899)
19 décembre 2018, par velovi« Sur mon porte-bagage arrière j’amarrai un paquet de linge et mon manteau et je suspendis au guidon mon sac-musette où se mêlent les objets les plus hétéroclites. »
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Bis repetita placent, Sæpe repetita docent. (1897)
5 juin 2020, par velovi« Je vais assez fréquemment à bicyclette de Saint-Étienne à Lyon et vice versa, tantôt par Duerne, tantôt en prenant le chemin des écoliers par le Bessat et les bords du Rhône, parfois aussi en suivant la route directe par Givors, laquelle est bien monotone ; il est bien rare que j’y rencontre d’autres cyclistes que ceux du cru, facilement reconnaissables à l’absence de tout bagage et à leurs allures. »