« Comme son nom l’indique, cette bicyclette sera la monture, par excellence, des randonneurs de l’École Stéphanoise, et permettra, à tout cycliste capable de rester vingt-quatre heures en selle, d’aller de Saint-Étienne à Nice en sa journée, donc de faire une moyenne horaire de 20 à 21 km., arrêts compris, toujours sans fatigue anormale. »
cyclotourisme, cyclocamping
Articles
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La randonneuse (1910)
1er juin 2018, par velovi -
Meeting d’Automne 1929
20 septembre 2020, par velovi« Le col de Pavezin, belvédère merveilleux ouvert sur la vallée du Rhône toute proche et les Alpes lointaines, a offert le 29 septembre dernier, entre 9 heures et midi, un spectacle étonnant. A chaque instant, par les quatre routes qui y aboutissent, arrivaient des cyclistes, et encore des cyclistes, et toujours des cyclistes, tantôt isolés, tantôt en groupes et parfois en pelotons, précédés de fanions et accompagnés du vacarme de tous les appareils sonores imposés par le règlement. Et ces cyclistes venaient souvent de loin ; quelques-uns avaient pédalé toute la nuit, et d’autres avaient quitté Paris dès l’aube, samedi, pour être à Pavezin dimanche avant midi. Mais dans quel but, se demandent les profanes, pourquoi tant d’efforts, interrogent les autoïstes paresseux ? Je vais le leur dire. »
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Vélocio, par G. Clement (1930)
21 novembre 2017, par velovi« Nous sommes persuadés que la « Petite Reine » qu’il a tant adulée restera longtemps encore la camarade préférée de tous ceux et de toutes celles qui aiment le grand air et la liberté. »
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Vélo-chronique forézienne (Octobre 1899)
7 octobre 2017, par velovi« franchement les expressions me manquent pour définir l’ivresse de se sentir glisser à grande allure sur une pente, sans tricoter des jambes comme un polichinelle en délire »
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Mon 14 juillet (1923)
14 juillet 2023, par veloviMon 14 juillet, Vélocio, Le Cycliste, Sept.-Oct. 1923, p.89-92, Archives départementales de la Loire cote IJ871/4
Pour cette fois, je l’avoue, le soleil et le siroco ont eu raison de ma ténacité et j’ai dû m’arrêter à 18 heures, ayant déjà tourné le dos au but que je m’étais proposé. N’avais-je pas formé le projet présomptueux d’aller, le 14 juillet, coucher à Embrun, pour, le lendemain, passer de bonne heure le Lautaret et redescendre ensuite à Grenoble d’où quelque train de nuit m’aurait rapatrié ! Ce (...) -
Saint Veran
13 décembre 2017, par velovi« Depuis Guillestre, je me sers de mon plus faible jeu de développement ; 4,75 en direct, 2,70 en rétro. »
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De Profondis, 1902
23 avril 2022, par velovi« Infortunée E. S. ! Que vouliez-vous qu’elle fit contre tant d’ennemis conjurés pour la perdre ? Quelle mourût. C’est ce quelle s’est empressée de faire.
Elle aura vécu ce que vivent les roses ; née au printemps, elle s’éteint avant l’hiver, que dis-je, avant même l’automne.
Son action cependant n’aura pas été inutile : elle a élargi la voie dans laquelle le cyclotourisme s’engage de plus en plus et forcé les constructeurs à s’occuper des cyclotouristes. » -
Alpes françaises (1906)
1er juillet 2017, par veloviCartes carnets H.Dolin
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De Turin à Genève par le Col du Grand Saint-Bernard (1897)
10 juillet 2018, par veloviDe façon que je remarquai, un moment après, que le jus céleste que retenait mon pantalon descendait par gouttes méthodiques, pour augmenter le bouillon ; aussi, comme la vertu est toujours récompensée, le cuisinier aura trouvé une soupe de plus à la distribution du soir. Et quel goût ! Celui-ci lui aura peut-être valu l’ordre du grand cordon bleu.
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Le parpaillon (1903)
23 avril 2022, par velovi« j’élaborai à la hâte pour les 12, 13 et 14 juillet 1903, le programme suivant :
Départ de la gare de Givors, le 12 à l’heure pour Grenoble, Le Lautaret, Briançon et Guillestre, 255 kilomètres ; le 13, le col de Vars, La Condamine, col de Parpaillon et Embrun, peu de kilomètres ce jour-là, mais de l’élévation en masse.
Le 14, retour d’Embrun à Givors par Gap, La Croix-Haute et Grenoble (265 kilomètres). »