« — Je me contente dans un voyage de 8 à 10 jours d’une moyenne de 120 kilomètres qui ne me coûtent aucun effort. Exceptionnellement je puis pour une excursion d’un jour aller jusqu’à 180 kilomètres, mais c’est déjà excessif et je ne pourrais recommencer le lendemain sans fatigue. »
Végétarisme
Articles
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Un Touriste (mai 1900)
25 août 2022, par velovi -
Vélocio et ses deux « dadas » : l’Espéranto et le Végétarisme
27 mars 2019, par velovi« La lecture des anciennes collections du « Cycliste » ne manque jamais d’attrait. Si, par hasard, nous gardons quelque illusion sur l’actualité de certaines de nos idées, il nous faut vite déchanter. »
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L’école stephanoise (1906)
26 novembre 2017, par velovi« si nous devions suivre le même itinéraire pendant huit jours par tous les temps, par monts et par vaux, peut-être bien le confortable que j’ai finirait-il par avoir raison du rendement supérieur dont tu es si fier. »
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Le refuge (1902)
10 juillet 2018, par velovi« Le col de Rousset est un de ceux-là. Très connu des cyclistes régionaux, il est peu fréquenté par les autres. Il offre pourtant un admirable panorama, et, à la sortie du tunnel, se produit un des plus étonnants changements à vue qu’il soit possible de concevoir »
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SAINT-ÉTIENNE, GRENOBLE, GAP, BRIANÇON, CHAMBÉRY
3 mai 2022, par velovi« J’ai toujours plein mon tiroir de projets de voyages et je choisis celui qui devait me permettre de remettre en lumière les qualités des machines à plusieurs développements. Sur mon porte-bagage arrière je fixai le paquet sous toile caoutchoutée qui me sert de valise, j’accrochai à mon guidon le sac-musette à trois compartiments où je place mes cartes, mon revolver, quelques objets de toilette, du pain et des fruits, j’accrochai au cadre sous la selle le frein à large patin de bois grâce auquel je puis faire les descentes les plus raides sans me fatiguer à contrepédaler, et j’allai dormir. »
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Sur le terrain (Paul de vivie, mai 1901)
20 juin 2017, par velovi« préparons-nous à franchir les cols les plus élevés, à descendre dans les longues et capricieuses vallées où des routes idéales nous inviteront aux folles allures, et cessons de discutailler. »
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Un raid de 600 km à bicyclette (1900)
27 septembre 2022, par velovi« Est-ce du tourisme, est-ce du sport, ou bien est-ce simplement un peu fou, que d’aller de Saint-Étienne à Marseille et en revenir en deux jours et demi ?
Ce sera ce que l’on voudra, mais, ce faisant, je me suis fourni une preuve dont j’avais besoin, en faveur des bicyclettes polymultipliées et de l’alimentation strictement végétarienne. » -
Randonnée pascale 1913
22 mai, par velovi« Autrefois, je me chargeais d’un tas de choses, cette fois je n’emportai que trois mouchoirs dans une poche, du pain dans l’autre poche, ma sacoche à outils et, dans un petit paquet roulé derrière la selle, ma pèlerine et une chambre à air. »
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Excursion du cycliste (1903)
22 mai, par velovi« Il me paraît important que l’on sache bien, que l’on proclame très haut, que la bicyclette moderne permet de se déplacer tout aussi bien que l’automobile, sans fatigue normale, mais à très peu de frais ; qu’un cycliste végétarien peut aller de Lyon à Marseille le premier jour, de Marseille à Nice le lendemain en dépensant à peine un centime par kilomètre, revenir en deux autres journées, et sans plus de dépenses, par Digne, à son point de départ »
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La Croix-Haute (1900)
10 janvier 2020, par velovi« Il s’arrête, il marche, il vole, aspirant l’air pur à pleins poumons, respirant l’indépendance par tous les pores. Ré qué Dioù, l’orgueilleuse devise des Talleyrand-Périgord, il peut la graver sur son guidon !
Quelle jouissance infinie ne donne pas la contemplation d’un beau paysage, et que je plains l’homme dont le cœur est fermé à de telles joies. Il est passé sur la terre, l’a habitée et ne l’a pas connue. »
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