« He told me that I had performed on the race tracks of the country in such a sportsmanlike manner that I was now free to adopt the name "Major." »
Entre 1918 et 1939
Articles
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Winning the name Major
1er septembre 2018, par velovi -
Cyclo-tourisme (G. Clément, Février 1922)
22 juin 2020, par velovi« Rien d’étonnant à ce qu’on rencontre peu de cyclo-touristes. Ils ne font pas de bruit, ne sont jamais par groupes très denses, partout à leur heure, et ont tous des itinéraires variés. Ils peuvent circuler par milliers dans une même région sans que cela s’aperçoive beaucoup. »
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Randonnées expérimentales (2de partie Vercors - 1921)
4 août 2022, par velovi« Je ne me pressai donc pas et je ne quittai le Refuge qu’à 14 heure, après avoir eu le tort de boire une bouteille de clairette, boisson toujours délicieuse, mais qui, ce jour-là, me laissa jusqu’au soir altéré et la bouche pâteuse. La clairette de Die serait-elle par hasard un de ces faux plaisirs contre lesquels nous met en garde Épicure ? »
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L’ŒUVRE DE VELOCIO (Suite) 1931-1936 : Le Cyclotourisme Moderne
22 avril 2021, par velovi« Quatre concours techniques en trois ans, plus le Chanteloup annuel, voilà qui aurait réjoui Velocio, toujours à l’affût du nouveau. »
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Un Retour en arrière (1916)
30 août 2021, par velovi« Il a failli m’en arriver une bien bonne ! sans Guy d’Ondacier j’allais redevenir partisan de la monoserve tant décriée. Mais mon médiéviste collaborateur s’est indigné et je suis rentré en moi-même ; bien que je n’aie pas pour cela lâché la vieille monoserve de 1891 que j’ai dénichée dans mon grenier et dont je me sers avec grand plaisir depuis quelques mois. »
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Pentecôte au Ventoux 1929
15 mai, par velovi« Le Ventoux est un gros morceau, difficile à avaler. Je le savais, je l’ai écrit maintes fois, et je l’ai trouvé, ce dimanche de Pentecôte, encore plus coriace que je ne m’y attendais. »
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Mon 14 juillet (1923)
14 juillet, par veloviMon 14 juillet, Vélocio, Le Cycliste, Sept.-Oct. 1923, p.89-92, Archives départementales de la Loire cote IJ871/4
Pour cette fois, je l’avoue, le soleil et le siroco ont eu raison de ma ténacité et j’ai dû m’arrêter à 18 heures, ayant déjà tourné le dos au but que je m’étais proposé. N’avais-je pas formé le projet présomptueux d’aller, le 14 juillet, coucher à Embrun, pour, le lendemain, passer de bonne heure le Lautaret et redescendre ensuite à Grenoble d’où quelque train de nuit m’aurait rapatrié ! Ce (...) -
Question de psychologie cycliste (1920)
29 janvier 2017, par velovi« À la question ainsi posée, il m’est facile de répondre que le sentiment que j’éprouve est celui d’une infinie gratitude envers la bicyclette qui nous permet d’aller admirer en si peu de temps, à si peu de frais, avec si peu de fatigue, tant de magnifiques spectacles qui, sans elle, nous resteraient inaccessibles ou incompris. »
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Le vélo couché de C. Mochet (1934)
9 mars 2020, par velovi -
Meeting d’Automne 1929
20 septembre 2020, par velovi« Le col de Pavezin, belvédère merveilleux ouvert sur la vallée du Rhône toute proche et les Alpes lointaines, a offert le 29 septembre dernier, entre 9 heures et midi, un spectacle étonnant. A chaque instant, par les quatre routes qui y aboutissent, arrivaient des cyclistes, et encore des cyclistes, et toujours des cyclistes, tantôt isolés, tantôt en groupes et parfois en pelotons, précédés de fanions et accompagnés du vacarme de tous les appareils sonores imposés par le règlement. Et ces cyclistes venaient souvent de loin ; quelques-uns avaient pédalé toute la nuit, et d’autres avaient quitté Paris dès l’aube, samedi, pour être à Pavezin dimanche avant midi. Mais dans quel but, se demandent les profanes, pourquoi tant d’efforts, interrogent les autoïstes paresseux ? Je vais le leur dire. »