Le col du Rousset à 8 heures de Saint-Étienne, Le Cycliste, Août 1905, p.142-146, Source Archives départementales de la Loire cote PER1328_8
Avant de mourir au cyclotourisme actif, je m’occupe à poser des jalons qui serviront à mes successeurs pour juger du chemin parcouru, des progrès accomplis. Car j’espère bien avoir des successeurs pour qui la mise en valeur du moteur humain sera la principale affaire, qui, sans faire fi des moteurs mécaniques dont l’avenir est ailleurs, estimeront (…)
Col de Rousset
Articles
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LE COL DU ROUSSET à 8 heures de Saint-Etienne (1905)
22 mai, par velovi -
Au col de Rousset (340 kilomètres). Excursion du 30 juin 1901.
13 septembre 2019, par velovi« Sept cyclotouristes ont pris part à cette excursion qui a été une des plus suivies et des plus goûtées de la saison. C’est que le Vercors est un incomparable écrin de beautés naturelles ; les sites pittoresques y abondent et les points de vue les plus inattendus y surprennent agréablement les cyclistes, que les rampes dures et longues et les descentes dangereuses ne font pas reculer. »
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Forêt de Lente (1900)
25 août 2022, par velovi« Pousser des cris d’admiration en voyant grimper une automobile n’est pas précisément dans notre caractère »
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EXCURSIONS DOMINICALES DE VÉLOCIO (juin 1900)
4 décembre 2019, par velovi“Notre excursion de la Pentecôte dans le Vercors a été contrariée par le mauvais temps qui nous a obligé de l’écourter et de supprimer les deux crochets facultatifs sur la forêt de Saou et sur Autrans-Villard de Lans.”
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Dans le Vercors (1901)
14 avril 2021, par velovi« À l’entrée du tunnel, je reste ébahie de la profondeur de ce trou noir, 800 mètres, dit-on. Deux quinquets fumeux ont la prétention de l’éclairer, mais n’empêchent pas qu’il y fait noir comme dans un trou de mine. On se dirige à tâtons, avec force appels et cris de ralliement. Un des Messieurs que nous avons rencontrés est enlevé comme une plume par des bras inconnus et échappe ainsi à l’accolade intempestive d’un cheval venant en sens inverse.
Enfin, on retrouve la lumière et les yeux restent éblouis. C’est devant nous, à l’infini, un enchevêtrement grandiose de sommets, de vallées, de rivières, de fleuves peut-être, mais qui, sur cet immense tableau, semblent tracés avec un pinceau de la finesse d’un cheveu. D’un promontoire de rochers, voisin du tunnel, on découvre 17 départements nous affirme l’aimable conducteur de ma bicyclette. Pendant que nous admirons ce merveilleux panorama, des flots de clairette circulent et après un dernier toast, l’heure nous pressant, nous nous séparons des courtois técéfistes que le hasard nous a donnés un instant comme compagnons de route. » -
Le refuge (1902)
10 juillet 2018, par velovi« Le col de Rousset est un de ceux-là. Très connu des cyclistes régionaux, il est peu fréquenté par les autres. Il offre pourtant un admirable panorama, et, à la sortie du tunnel, se produit un des plus étonnants changements à vue qu’il soit possible de concevoir »
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PLAIDOYER EN FAVEUR DU PÉDALAGE HORIZONTAL (1935)
26 janvier, par veloviEn abordant un sujet aussi considérable dans le monde du cyclotourisme, que celui du Concours des Alpes, je me propose d’abord de renseigner les camarades intéressés par la participation à ce concours des nouvelles bicyclettes à pédalage horizontal, sur les conditions dans lesquelles ces machines et leurs pilotes, réalisèrent la tâche qui leur était assignée.
Je tâcherai, par la même occasion, de donner un aperçu des diverses péripéties de la compétition, qui ne sortirent pas du champ de (…) -
Col de Rousset
13 septembre 2019, par veloviUn classique des premiers lecteurs du Cycliste, réputé pour les repas et la clairette de Die que l’on trouvait au refuge, côté sud, à côté de l’ancien tunnel.
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Au col du Rousset (1907)
21 avril 2022, par velovi« Des ouvriers réparent les portes du tunnel, et la voûte retentit de leurs coups de marteau sonores. On sent là-dessous un courant d’air glacial, et pour achever de me rafraîchir, des gouttes d’eau tombent en abondance Le sol est très humide, gluant comme un matelas de limaces, et on roule dans un clapotis de boue continuel. Avec cela, on n’y voit pas grand’chose ; quelques rares lampes fumeuses, accrochées çà et là indiquent l’emplacement des parois du tunnel et empêchent de s’y heurter. Peu à peu, j’approche de la sortie, je puis déjà lire l’heure à ma montre : 10 h. 17 ; il y a 8 heures très exactement que j’ai quitté Saint-Étienne. »
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Randonnées expérimentales (2de partie Vercors - 1921)
4 août 2022, par velovi« Je ne me pressai donc pas et je ne quittai le Refuge qu’à 14 heure, après avoir eu le tort de boire une bouteille de clairette, boisson toujours délicieuse, mais qui, ce jour-là, me laissa jusqu’au soir altéré et la bouche pâteuse. La clairette de Die serait-elle par hasard un de ces faux plaisirs contre lesquels nous met en garde Épicure ? »
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