(1865-1938)
Journaliste et grand vulgarisateur, il se passionne pour la bicyclette en 1890 et rédige dès 1891 une Histoire générale de la vélocipédie. Il co-écrit les mémoires de Terront (1891), et d’autres ouvrages sur la bicyclette : Le cyclisme théorique et pratique (1892), L’Art de bien monter la bicyclette (1894).
Il s’intéresse très vite au tricycle à moteur et à l’automobile, dont il sera aussi le vulgarisateur.
Il travaille longtemps avec l’Illustration, et devient rédacteur en chef du Touring-club de France dans l’entre-deux guerre.
Articles
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Le cycliste doit être protégé (Mars 1927)
30 octobre 2017, par velovi
« pourquoi ne prélèverait-il pas sur cette aubaine 2 ou 3 millions à la réfection immédiate des « pistes cyclables », que l’absence d’entretien depuis la guerre a presque totalement ruinées, et à la création aussi de quelques centaines de kilomètres de pistes nouvelles ? »
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Le sentier cyclable doit être officiellement reconnu (Octobre 1920)
25 avril 2017, par velovi
« il importe qu’aucune décision d’exécution, en quelques cas que ce soit, ne soit prise sans qu’on ait envisagé les besoins des cyclistes qui peuvent s’y rapporter . »
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Le championnat de France de 1888, dernier bicycle et première bicyclette !
1er août 2018, par velovi
« La chaîne surtout avait mon antipathie. »
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Ma course Paris-Brest (Les mémoires de Terront, 1893)
16 août 2019, par velovi
« Jiel-laval venait de passer 41 minutes avant moi. La foule à Brest était si compacte que je crus être obligé de descendre de machine et que je fus, malgré l’envie de repartir sans m’arrêter, contraint d’attendre cinq minutes qu’on me servit un bouillon et qu’on fit s’écarter pour me laisser le passage, la cohue qui me pressait de toutes parts. »
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La définition juridique de la bicyclette (Mars 1896)
31 janvier 2023, par velovi
« Le sage esprit qui dirige la rédaction de notre Revue a mis au concours il y a deux mois une question toute pleine d’épines, mais toute chargée aussi d’enseignements : la définition de la bicyclette au point de vue juridique. Il s’agit, en d’autres termes, de définir l’être nouveau qu’est dans la circulation des rues et des routes le cycliste, de telle façon qu’on déduise de cette définition les droits qui lui appartiennent et les devoirs qui lui incombent. »